Bonjour à toi, l’Ami !

Ça y est ! C’est arrivé ! Il fallait bien que cela arrive, d’ailleurs… et bien oui ! Aujourd’hui, et après le succès des deux premiers tomes, je récidive à défier les impossibles ! Ces impossibles, redoutables adversaires de l’esprit, se traduisent en quelques mots, en quelques phrases, en quelques lignes, en quelques vers pour toi, l’Ami… À cette seule pensée, et rien que pour toi, mes impossibles m’ont semblé moins terribles à affronter… Il suffit de si peu effacer, pour en faire des possibles…

Je le dis, à la déontologie de la poésie –puisse-t-il en exister une -, j’ai été happé par la poésie du cœur, tu sais, celle où l’encre décide de couler… Et de couler là, à cet endroit précis où elle a choisi d’épandre sa joie, sa peine, sa révolte, et sa rébellion sans mondanité aucune, parce qu’à cet endroit précis, elle rejoint l’œuvre universelle à laquelle chacun est investi, et ce, qu’elle que soit sa dimension ou son statut social…

Si tu es prêt à être ce spéléologue à la recherche d’un trésor enfoui, si tu es celui qui sent soudainement les secousses d’un terrain prêt à lui céder bonheur, fais un bout de chemin avec moi : entends, hume, vois, touche, goûte… la conscience est si près de toi…